Manifestations à Rennes. Un policier hospitalisé pour diabète après avoir reçu deux kouign amann en plein visage

Mardi vers 14h00, un policier de la BAC a été hospitalisé en urgence à Pontchaillou nous rapporte nos confrères de l’Agence France Presque. Ce dernier a été touché par deux pâtisseries bretonnes dites kouign-amann en plein visage lors d’une charge des policiers. Cette technique utilisée de plus en plus par les Blacks Breizh devient une problématique que le ministère de l’Intérieur peine à contrer malgré plusieurs techniques dites pacifiques, mais dénoncées par les syndicats.

Pavé de 1969

Des attaques qui manquent de sel

Un recours a d’ailleurs été déposé récemment dans ce sens auprès de la ligue des droits de l’Homme après un recours abusif d’armes létales lors des récentes manifestations contre la retraite, notamment le fameux LBD (lanceur de beurre doux) sur des Bretons qui peuvent avoir de graves conséquences sur leur santé mentale et portent atteinte à la liberté de manifestation. Ce n’est pas la première fois que forces de l’ordre et manifestations en viennent à utiliser des armes non conventionnelles. En 1998, un étudiant de Rennes-2 avait été surpris en train de lancer un Bescherelle sur des CRS causant ainsi plusieurs maux de tête lors de l’utilisation du subjonctif passé pour le verbe « devoir ». 3 ans plus tard, des policiers avaient fait usage de bière sans alcool sur des supporters du Stade rennais, arme interdite pourtant interdite la convention de Tournai (Belgique).

Syndicats comme forces de l’ordre déplorent la montée des violences et se lance réciproquement la pierre sur le sujet, mais d’après Georgette Guéridon, sociologue au CNRS, « La hiérarchie des violences est surtout à des ordres contradictoires, notamment lorsqu’elles celle-ci sont réalisées pour des réformes écrites sous Calva virois à 49,3° degrés ».

Source détournement image : Actu.fr