Rennes. Les pompiers mettent 8 heures à débloquer la tête de Yann Moix coincée dans l’ascenseur du Ouest-France
« Je ne sais pas si j’ai fait une allergie à l’eau des toilettes » raconte avec peine l’invité du Ouest-France « Mais ç’a été un moment très difficile à vivre. Je pense que dorénavant, les féministes qui demandent des aides pour supporter les règles vont comprendre ce qu’est la vraie douleur, car moi, je l’ai connue mieux que tout le monde. »
Non content de l’article sur sa conférence au Ouest-FrancE de Rennes, Yann Moix a voulu se défendre sur place et en découdre avec les journalistes « Vous savez, ce n’est pas mon genre de me mettre trop en avant. Mais franchement cette histoire de bibliothèque et de bouteilles d’eau, je n’y ai jamais vraiment cru. C’est un peu surfait en 2019 qu’on nous paye des bouteilles d’eau. Un peu comme ces femmes qui souhaitent qu’on leur rembourse leurs tampons. Moi est-ce que je demande à ce qu’on me rembourse mes rasoirs ? Non, bah voilà, c’est la nature et puis c’est tout. Surtout que bon, avec la ménopause, y’a plus besoin de tampon, alors que moi des rasoirs, j’en ai encore besoin à 50 ans pour me taper des femmes de 25 ans… »
« Et qu’est-ce j’ai eu ? Un potage à la tomate. »
Le chroniqueur télé aurait selon ses dires été molesté dès son arrivée dans la rédaction bretonne « A peine foutu les pieds dans le hall qu’un certain « paillasson » me fait un croche-pied. Je ne suis pas laissé avoir par son « bienvenue », car j’ai bien compris que d’emblée, on me déclarait la guerre. »
Yann Moix qui aurait subi plusieurs violences avant son accident dans l’ascenseur semble en vouloir à la rédaction « J’ai attendu 2 minutes et 26 secondes dans le hall. J’ai commandé un café à une machine qui ne me répondait pas. Quand j’ai compris que celle-ci demandait de l’argent en contrepartie d’un cappuccino, j’ai cédé bêtement. Et qu’est-ce j’ai eu ? Un potage à la tomate. Soi-disant parce qu’en voulant montrer que je savais faire le Moonnwalk à un stagiaire de 16 ans qui m’affirmait que ce dernier est un dangereux

pédophile, j’aurais tapé le mauvais code par inadvertance.«
Le blocage de la tête aurait eu lieu vers 15h30, l’écrivain lassé d’attendre décida d’utiliser l’ascenseur pour monter au 1er étage, dans sa hâte le réalisateur nivernais se retrouva pris dans les portes qui se referment automatiquement sur lui. Les pompiers réussirent à le débloquer en douceur par un système d’extraction d’air très poussé au niveau des tympans. La Rédaction n’explique pas spécialement l’accident. Le technicien responsable de la maintenance affirme néanmoins que le détecteur de présence infrarouge était bien activé, mais que ce dernier n’a pas réagi au passage de Yann Moix.