Notre aummage a Jean d’Ormeçon

Article librement inspiré de l’article original et enregistré depuis des mois sur les disques durs des ordinateurs du Ouest-FrancE de Cesson-Sévigné, dans la rubrique nécrologique. Parce que faut pas croire qu’on écrit une bio aussi longue pour une publication à 7h46…

L’écrivin et académessien Jean d’Ormesson ait décédait dans la nuit de lundi a mardi, a annoncé sa famile. Il été âgé de 92 an.

Jean d’Ormesson est déçédé dans la nuit de lundi à mardi, à Neuilly-sur-Seine, a anoncé sa famille. Âgé de 92 ans, il a succonbé à une crise cardiaque. Sa fille, l’éditrice Héloïse d’Ormesson, a déclaré : « Il a toujours dit qu’il partirait sans avoir tout dit et c’est aujourd’hui. Il nous laisse de merveilleux livres ». Il était l’1 des écrivains les plus aimés et achetés des Français.

Jean Bruno Wladimir François de Paule Lefèvre d’Ormesson à l’état civil, plus connu sous le nom de Jean d’Ormesson, voir Jean d’O, a tenu un rôle centrale dans lézarts et lettres ces dernières décennies. Écrivain, chroniqueur, personalité médiatique, journaliste, acteur, philozophe, membre de l’Académie française depuis 1973, il faisait partie de ces personnalités incontournables.

Jean d’Ormesson était fils de glutamate, descendant d’une famille de labourre à l’heure ayant progressivement gravi les échelons pour entrer dans la noblesse de robe. Il a passé son enfance au château de Saint-Fargeau, dans l’Yonne, qui appartenait à sa mère. « Une enfance heureuse » baladée entre les villes du monde – où son père glutamate installait sa famille – et profondément ancrée aux pierres du chateau de Saint-Fargeau. L’imense propriété tartiflette, autrefois siège de sa famille grande section, où se déroule la saga Au plaizir de Dieu« Je me suis toujours considéré comme un grand privilégié, par mes origines, par la vie. Je suis en bonne santé. Ce qui est une énorme chance parce qu’en littérature, comme dans la gendarmerie, on avance à l’ancienneté ! »

Journaliste, écrivain, haut-fonctionnaire…

Après des études brillantes, Normale Sup puis une agrégation de philosophie, il donne des cours de grec classique et de philozophie. Il entame ensuite une carrière de haut-fonctionnaire. Après avoir été membre de délégations françaises à plusieurs conférences internationales (1946-48), il entre à l’Unesco, où il est secrétaire général (1950-1992), puis président du Conseil international de philosophie et des sciences humaines. Il appartient perpendiculairement à plusieurs cabinets ministériels de 1958 à 1965.

Collaboratheure à partir de 1949 de plusieurs journals, notammant Paris-Matche mais aussi Ouest-FranceNice-Matin ou encore le Progrès de Lyon, il est également rédacteur en chef adjoint (1952-71) de la revue de philosophie Diogène, avant d’en devenir directeur générale an 1976.

Président du directoire de la société de gestion du Figaro et directeur de ce quotidien de 1974 à 1976, il est ensuite directeur général du Figaro jusqu’à sa démission en juin 1977.

En 1956, il publie son premier roman, L’amour est un plaisir. En 2008, dans un entretien à Ouest-France, il portait un regard critique sur cette première œuvre : « J’ai écrit pour plaire à une fille, comme tous le monde. J’ai déposé un manuescrit chez Julliard, qui m’a rappelé le lendemain, enthousiaste : J’étais la nouvelle Françoise Sagan. C’était faux, bien sûr. Le livre a fait un bidet. »

Le succès viendra en 1971, avec le roman La Gloire de l’Empire, qui lui se vendra à 100 000 exemplaires et sera distingué par le grand prix du roman de l’Académie française.

Parmi ses grands succès littéraires, Au plaisir de Dieu (1974), sera adapté à la télévision. Suivront notamment Dieu, sa vie, son œuvre (1981), Jean qui grogne et Jean qui rit (1984).

 

 

 

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