Landivy : La rue de l’Enfer serait un passage dimensionnel vers la Normandie d’après deux chercheurs bretons en gilet jaune

Coup de tonnerre dans le monde de la géographie, d’après des chercheurs originaires de Fougères, Landivy, une des communes les plus septentrionales des Pays de la Loire, aurait un passage dimensionnel direct vers la Normandie.

« Il y a la présence d’un café des sports avec un mec qui s’appelle René et qui est bourré au cidre tous les soirs »

Cette conclusion nous est narré par les deux chercheurs de la DIRE « On a remarqué dès 2012 que Landivy avait des similitudes avec La Normandie. La couleur des pierres, le calme, le taux d’illettrisme, le comportement des gens et l’ennui du dimanche matin » confie Loïc, chercheur depuis 12 ans. « Autre fait important, dans les 2 endroits, il y a la présence d’un café des sports avec un mec qui s’appelle René et qui est bourré au cidre tous les soirs » complète Ethan « Tout était réuni pour se sentir en Normandie. Pourtant, nous n’y étions pas, alors nous avons décidé de faire des tests plus poussés.« 

D’après les 2 chercheurs, c’est lors d’un mardi de novembre que le secret fut presque révélé : « On venait de manger 2 galettes saucisses au marché du centre-bourg. Puis on a discutaillé animaux de fermes avec Jean-Pierre Dupuis, maire de la commune, ancien conseiller général et vétérinaire à la retraite. Il nous a avoué que depuis que la commune avait accepté d’accueillir des réfugiés, les habitants pouvaient se téléporter via la rue de Paradis de Laval. Du coup on a que la rue de l’Enfer pouvait avoir la même fonction. »

Après avoir obtenu les crédits nécessaires pour leurs recherches, Loïc et Ethan décident de se focaliser sur la ruelle. « Oui, ce nom de rue n’a pas pu être donné par hasard, on s’en doutait un peu, alors nous nous sommes concentrés sur elle. Les premières années, nous revenions à chaque fois sur nos pas. Puis à un moment, on a suivi le panneau St Hilaire de Harcouët et là on a compris » raconte Ethan « Nous avons été directement téléportés dans La Manche…On est resté 10 minutes. On a bu du Poiré et après j’ai dit « On rentre, on se fait chier », alors on est rentré…Tout allait très vite » commente Loïc « Puis, en voulant éviter le troupeau des candidates de Miss Pays de la Loire qui revenait de Gorron, on a loupé le virage et fini. Ça faisait longtemps qu’on n’avait pas pris une cuite pareille. » A ce jour, les deux chercheurs n’ont plus leur permis et devront se contenter de saler les rues l’hiver. Seule petite conclusion sympathique, Ethan a pu conclure avec Miss Sarthe: « Vous ne connaissez pas le pouvoir de séduction des rillettes gorronnaises » avoue ce dernier.

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Miss Sarthe