Vendée Globe : Maxime Sorel découvre 15 Lavallois en After Work dans la soute du V and B-Mayenne

Une surprise attendait le nvaigateur quelques heures après son départ des Sables-d’Olonne, le skippeur malouin découvre 15 personnes en After Work dans son V and B-Mayenne. « J’ai entendu du bruit dans une des cales peu après le départ » raconte Maxime Sorel, « J’ai cru que c’était un larsen de la téléconférence ou Olivier Richefou qui essayait de se caler dans le bateau pour être sur la photo à l’arrivée, puis là j’ai entendu les bruits de bouteilles et j’ai compris. » Pas moins de 15 personnes s’étaient glissées pour organiser un After Work après un lundi difficile. « Avec le confinement, le V and B-Mayenne est le seul V and B de France à être encore ouvert. C’est une occasion qu’on ne pouvait pas louper, se réunir pour choper le covid tous ensemble dans la joie et la bonne humeur. »

« Les salauds, ils ont bouffé tout mon stock de Pringles »

Maxime Sorel, semble peu apprécier la présence de ses nouveaux compagnons de bord et tenta une approche des plus diplomatiques avec le groupe de Lavallois originaire de Saint Berthevin et du Mans : « Alors, sans vouloir ne vexer personne, je ne suis pas associable, j’ai même plutôt un bon caractère, si si ma tata Claude me le dit souvent, mais j’aimerais juste vous demander, sans vouloir vous déranger en plein moment de sociabilité, sans masque et durant une épidémie qui pourrait causer mon échec si je venais à tomber malade : QU’EST-CE QUE VOUS COMPRENEZ PAS BANDE DE CONS DANS « COURSE EN SOLITAIRE » ? En vous remerciant.« 

« Michel, tu nous remets la petite soeur, on est sur le départ »

Cette conversation aura été suivie d’une menace au feu de détresse de quitter le bateau sur-le-champ. Peu de temps après que la cloche retentisse, sauf pour Hervé qui affirme de ne pas l’avoir entendue et donc que ça ne compte pas et puisqu’il sort la même blague depuis 1999. L’ensemble du groupe quitta le groupe vers 21h15, complètement ivre sur un canot de sauvetage. D’après nos informations, ce dernier aurait disparu des radars peu de temps après un débat entre les Mayennais et les Manceaux sur l’origine du premier V and B de France.

Maxime Sorel ressort glorieux de cet abordage de spécialistes de l’apéro, mais avoue avoir été dépassé par sa colère « En même ils avaient bouffé tout le stock de Pringles ! Voilà quoi… »