Lorient. Nouvel an, il se retrouve avec 678 paquets de chips après avoir demandé à ses potes de ramener « un petit quelque chose » pour le réveillon
Guillaume qui organisait ce réveillon 2018 se souviendra longtemps de ce 31 décembre. L’apéro se passait bien mais la suite des évènements fut moins sympathique: « J’avais demandé aux potes de ramener un petit quelque chose, sans préciser quoi que ce soit, je n’aurais jamais cru qu’ils auraient tous la même idée«
« 678 paquets de chips et 26 paquets de Pringles »
L’actualité nous le rappelle souvent, le manque de précision dans la consigne aura toujours des conséquences surprenantes. En effet, par défaut, les gens entendraient à travers l’expression un « petit quelque chose » le mot « chips« . Selon Jean Craqueurs, psychologue des débuts de soirée, le mot « petit » nous amènerait à acheter instinctivement des paquets de chips. Autre théorie, le C.N.R.S rappelle que les apéritifs ont lieu vers 19h00, donc durant le même créneau de diffusion de la série « Chips » sur Antenne 2 en 1983. Les trentenaires seraient donc conditionnés par leur subconscient à acheter de fins pétales de pomme de terre frits. Nostalgie quand tu nous tiens…
Ce n’est pas la première fois que le manque de précision dans la consigne amène à l’importation d’un produit en trop grande quantité dans une soirée. Déjà en 2011, un jeune Sarthois avait reçu 123 packs de Kronenbourg après avoir demandé à ses amis de ramener « un petit truc à boire ».

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