Face à la stagnation de l’épidémie, la réouverture des écoles, collèges et lycées semble encore incertaine. Le gouvernement se prépare donc à une solution qui allierait avec efficacité protocole sanitaire sûr et pédagogie : les espaces de coworking.

« Cette idée nous est venue pendant un lunching dans une salle de réception qui jouxte un restaurant fermé » indique une source proche de l’Élysée « Les écoles sont en effet problématique concernant la diffusion du virus, mais ces nouveaux lieux de travail en middle-faring (semi-distanciel) seront doté d’un protocole sanitaire plus strict que celui mis en place initialement dans les établissements scolaires.

« Windowsoponing and masking »

D’après plusieurs études, dont notamment celle de la Schoolar school of university college, les risques de contaminations restent limités si les élèves sont placés dans des espaces de co-working (35 à 40 maximum), couplé à une méthode nommé Windowsoponing and and masking qui consiste à « ouvrir les fenêtres et bien fermer sa gueule derrière son masque si je peux me permettre » explique un collaborateur du cabinet du ministre de l’Éducation nationale. « Ce n’est pas qu’on ne veut pas que les élèves s’expriment, mais ils n’auront de professeur avec eux, ils seront situés dans une salle annexe par groupe de 15 nommé vulgairement « la salle des profs » en référence à la salle des professeurs qui existait dans le même établissement. Enfin, afin de remplacer les cours d’EPS, le Rectorat propose jusqu’à la fin de l’année le programme « Bimp my bike », les élèves pourront placer leur vélo sur une dynamo géante et pédaler dans le vide afin de financer une partie de l’électricité de l’espace de coworking.

Toutes ces nouvelles procédures apporteront des billes à l’Éducation nationale qui nous donneront l’occasion d’évoluer sur le long terme « Ha ça, depuis le premier confinement, le distanciel est un vrai laboratoire. Pas contre le virus, mais bien pratique pour les suppressions de postes… »