Report de match Laval-Bastia. 9000 supporteurs corses apprennent par la LFP qu’ils n’ont en réalité aucune compétence en aviation
« Ce n’est pas qu’un drame sportif, c’est aussi un drame professionnel. Je venais de m’acheter un petit bi-place pour rejoindre le continent une fois par semaine, mais non en fait, je n’aurais pas les compétences » découvre stupéfait Julien Pernichichi, supporteur bastiais et journaliste amateur pendant son temps libre.
Même déception du côté de Julianno Pernichio, qui après avoir pourtant commenté pendant des jours chaque article du Courrier de La Mayenne concernant le report du Match. Celui-ci a reçu une fin de non-recevoir de sa candidature spontanée pour MétéoFrance. « J’avais pourtant analysé chaque donnée météorologique et j’ai passé des heures à regarder les nuages dans le ciel, c’était sûr que je serai pris comme analyste météorologiques et que Laval allait perdre 3-0 sur carpette verte, et je m’y connais en football. »
« On aurait dû gagner sur paillasson vert, et je m’y connais en foot »
Rappel des faits, fin octobre le club de Foot du Stade Lavallois ne peut décoller pour des raisons météorologiques, préférant jouer la prudence le pilote refuse de prendre son envol ce qui n’est pas de l’avis de 99% des supporteurs de Bastia qui estiment avoir toutes les compétences en météorologie et aviation pour juger la situation. « Écoutez plein d’avions avaient réussi à décoller, comme de par hasard, pas celui de Laval » insiste Julien Pernichichi « Vous savez, depuis que j’ai analysé le plan de vol des deux avions qui ont heurté le World Trade center en septembre 2001, je m’y connais vachement en avion. Et je peux vous assurez deux choses, l’avion de Laval aurait dû décoller et le pilote de qui a heurté la première tour aurait dû faire un back flip comme la patineuse française là…Mais si j’ai oublié son nom. Bref, on aurait dû gagner sur paillasson vert…Et croyez-moi je m’y connais en football »
Quoi qu’il en soit, cette décision de la LFP fait scandale en Corse. « C’est inadmissible » commente la journaliste Julienne Pernidiot. « On proposait de gagner un match sans jouer et ça nous a été refusé pour quoi ? Par principe de précaution de la vie d’autrui ? Alors on va vraiment devoir jouer un match pour le gagner ? Mais où va le monde sérieusement si la vie d’autrui est plus importante qu’un match de foot…C’est quoi la prochaine étape ? Interdire un transfert de joueur en pleine tempête ou la construction d’une tribune de stade à la va-vite pour une demi-finale de foot pour éviter un drame ? Mais où va le monde si la sécurité est prioritaire ? »
