C’est une polémique dans la polémique un peu comme un set de casseroles. Ce vendredi 26 janvier, l’entreprise Tefal, entreprise française spécialisée dans les articles culinaires antiadhésifs a décidé de déposer un recours contre la ministre des Sports, des JO, de l’Éducation nationale et plus si affinités. « Chaque jour Mediapart nous sort une nouvelle casserole, toujours plus profonde et bruyante et efficace pour montrer que la ministre n’adhère à rien de concret. » s’offusque Jean Custor, PDG vice-adjoint de Tefal « Aucun brevet déposé, aucune entreprise reconnue dans les articles culinaires et Madame la Ministre arrive comme ça sans prévenir dans le marché. C’est inadmissible, cela frôle le monopole et à mon avis, on va en découvrir d’autres. »

Il est vrai que depuis sa nomination, Amélie Oudéa-Castéra enchaîne les casseroles ou autres bourdes s’ajoutant peu à un palmarès déjà bien fourni. Cela n’est pas sans conséquence sur le cours du marché des articles culinaires, car chaque nouvelle casserole est laissée à disposition des concitoyens qui s’en emparent gratuitement et s’en font un feu de joie. « J’ai vu des journalistes d’investigation et des factcheckeurs la cuisiner à petit feu à chaque interview et à chaque fois elle nous en sort une plus belle encore. Nos ingénieurs sont dépassés par son talent et sa productivité. Chaque nouvelle casserole est encore plus performante et profonde que la précédente. Si elle ne démissionne pas dans les 15 jours, on devra mettre la clef sous la porte. On lui a fait une offre d’emploi, mais elle semble préférer rester au ministère. On lui a même proposé de scolariser ses enfants dans un centre de développement en non-mixité, mais toujours pas de réponse positive ».

Cet épisode politique n’est pas sans rappeler la polémique entre le syndicat des travailleuses du sexe qui avaient saisi en 2008 l’employé de la Cogip qui avait été élu par ses collègues « la plus grosse langue de pute de l’année »

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