Bretagne. Trois punaises de lits retrouvées ivres après avoir piqué un Lorientais dans le TGV

« On les a retrouvées en train de faire la teuf dans les toilettes, sans billet, en train d’insulter les rats de Paris sur Tiktok ». Nouveau fléau en Bretagne, les punaises de lits arrivent dans l’ouest de la France, mais l’arrivée du nuisible ne se fait pas sans conséquence dans la région au fort taux de consommation d’alcool par habitant. « Elles se nourrissent du sang des Bretons, donc forcément, vu qu’ils ne boivent pas que du petit lait, il y a des conséquences. Elles descendent du train et foutent le bazar dans le centre-ville de Lorient. On a déjà recensé 3 bagarres entre des supporteurs du FC Lorient et des punaises de lit qui fan du PSG. C’est un vrai problème de sécurité publique là »

D’après la préfecture du Morbihan, l’arrivée des punaises de lit a augmenté de 100% en deux mois le nombre d’incidents et de conduites en état d’ivresse. « Sans aucun permis, on les retrouve défoncées dans le centre-ville en Opel Corsa à 100 km/h avec des néons sous le bas moteur, en train de faire des burn avec leurs pneus. Certains se lancent dans le proxénétisme forçant des chenilles à devenir des papillons de nuit qui font du pool dance sur les néons de la gare. C’est une situation tendue. Il va falloir réagir, on est débordé et pour le coup, comme ce ne sont pas des immigrées, l’extrême droite ne veut pas nous aider à ratonner à notre place comme lors des dernières émeutes. On est désemparés… »

L’État va tenter d’apporter une aide exceptionnelle à la population, des albums de Nolwenn Leroy et des Manaus seront diffusés dans toute la gare Montparnasse afin de faire fuir les punaises de lits des wagons. « C’est une solution radicale, mais qui risque de faire réduire l’arrivée des touristes également ? Remarquez, ça limitera peut-être l’installation des résidences secondaires, c’est toujours plus utile que d’augmenter la taxe d’habitation à des gens qui sont pétés de thune ».

Bref, une solution radicale pour sauver les riches d’un nuisible, pendant que les entreprises de désinfection continueront à se gratter sur les pauvres…