ISS. Le Normand Thomas Pesquet défie le blob dans un combat de MMA
« Où tu veux quand tu veux je lui ai dit, droit dans les yeux, enfin, façon de parler » aurait-il crié dans l’espace. La tension monte entre le Normand Thomas Pesquet et sa propre création. Celle-ci vient de prendre une tournure improbable, depuis que le spationaute a aperçu l’être vivant en train d’envoyer des textos coquins à la femme du responsable de l’ISS. « Le machin a osé dire que je ne pigeais rien à la science, que je n’avais pas un pet de neurone. Non, mais l’hôpital qui se fout de la charité et qu’avec lui elle pourrait connaître une extension et une relation puissante forte comme un arbre, mais puissante comme un animal. Il a lui-même proposé de se défoncer aux champis en rave-party dès qu’il rentrerait sur Terre. Quand j’ai vu les messages, je suis sorti prendre l’air dehors, sinon ça allait exploser…«

Une technique de respiration dans l’espace en mode systema
Concrètement, comment se déroulera le combat ? « Combattre un blob n’est pas de tout repos, a capacité à s’adapter est assez affolante, déjà le machin peut se mouvoir dans une seule cellule ce qui lui profère un avantage second avantage. » affirme un expert de sport de combat « Un peu comme Patrick Balkany avec son bracelet électronique, il n’a qu’une seule cellule, mais techniquement il bouge comme il veut où il veut«
Le lieu du combat reste à définir, attendre le retour sur Terre ou un combat en apesanteur est-il envisageable ? Là-dessus Thomas Pesquet ne se prononce pas « Je peux vous mettre un coup de pied latéral droit et gérer ma respiration même en extérieur. Un cosmonaute russe m’a appris la respiration systema, par contre si c’est sur Terre, je veux qu’on se fight à Rouen. Là, je peux te dire que vu la quantité de produits chimiques en ville depuis l’affaire Lubrizol, je lui éclate son jaune d’œuf moisi au mou du bulbe, le machin il va te faire une retraite spirituelle au Mont-Saint-Michel en mode bénédictine. Après avoir passé son temps à savoir si il était animal ou végétal il se demandera s’il est Normand ou Breton, ça lui fera les pieds. Enfin façon de parler… «
Source détournement image : CNRS
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